Quand on se focalise sérieusement sur la malchance d’être, on ne la voit
plus comme le fruit d’un gigantesque hasard, mais plutôt comme le résultat
d’une suite logique, une probabilité parmi d’autres. On se considère alors soi-même
comme un produit banalement unique, d’une triviale originalité : une
singularité ordinaire.
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